La résistance, une tradition en Casamance.
Un retournement de situation !
Tout enfant de la Casamance, porte en lui l'héritage de la lutte pour la liberté. Un fils d’une résistante casamançaise vient tout dernièrement d’expérimenter la douleur et l'injustice, lorsqu'il a été victime d'une agression de la part d’un jeune sénégalais. Un scénario qui a vite tourné au vinaigre pour le sénégalais qui a attaqué gratuitement ce jeune de la Casamance parce que sa maman est une vaillante résistante casamançaise. Un enfant intègre, digne de sa maman, qui a accepté de se battre non seulement pour sa propre dignité, mais aussi pour la cause que sa mère défend avec tant de passion. Son histoire est un témoignage de la force et de la résilience face à l'adversité.
« En sortant de chez moi pour aller m’acheter à manger au rond-point un gars m’a interpellé juste à côté de chez moi en disant vous ne pouvez pas mettre le pays en sang et avant que vous le fassiez on vous vas vous réduire en poussière sous forme d’insulte en wolof je lui ai dit copain à qui tu parles sur ce ton impolie et il ajoute toi et ta mère vous êtes petit pour mettre le pays en mal je lui répond mais bro tu me provoque et on ne se connaît pas et tu te permet de me parler sur ce ton comme si t’es plus homme que moi et là il m’insulte plus gravement c’est là que je lui ai donné un coup de poing il ramasse un bâton il me le frappe sur les côtes je lui est attraper par la ceinture et mis au sol et pendant 15 à 20 mn on était au combat je lui ai gravement blessé et pris le déçu sur lui c’était vers 19h » témoignage du jeune garçon.
On ne touche pas à ma Casamance !
Prince Ayi
UN HOMMAGE A BAKAMBOULA (décédé le 08 Avril 2025 suite à une longue maladie).
BAKAMBOULA, de ESSOULEULOU, village de MLOMP KASSA, figure emblématique de la lutte pour la liberté de la Casamance, a consacré sa vie à défendre les droits et l'autonomie du peuple de Casamance. Avec une détermination et un courage exemplaires, BAKAMBOULA a mené un combat sans relâche, inspirant des générations à se lever pour leur cause. Son héritage demeure une source d'inspiration pour tous ceux qui continuent à se battre pour la justice et la liberté de la mère Casamance, le pays du refus.
Hélas, un vrai combattant est parti à jamais… !
Repose en paix ATTIKA, la Casamance te présente ses salutations et te témoigne tout son respect, son admiration et sa reconnaissance. Reçois pour toujours les honneurs de la Casamance. Tu resteras à jamais dans la mémoire des « Hommes et leur Terre ».
INVICTA FELIX !
Une perspective qui interpelle Casamançaises et Casamançais.
(A.O.F)
L'A.O.F (Afrique Occidentale Française) était divisée en deux arrondissements : l'arrondissement de Saint-Louis et l'arrondissement de Gorée.
ARRONDISSEMENT DE SAINT-LOUIS.
=> Le Sénégal
=> Le Mali
=> La Haute-Volta (Burkina Faso)
ARRONDISSEMENT DE GORÉE
=> La Casamance
=> La Guinée Conakry
=> Le Dahomey (Bénin)
=> La Côte d’Ivoire
POURQUOI AUJOURD'HUI TOUTES CES ANCIENNES COLONIES SONT DES PAYS INDÉPENDANTS SAUF LA CASAMANCE ?
SI VRAIMENT LE SÉNÉGAL OCCUPE AUJOURD'HUI LA CASAMANCE PAR SOUCIS D'UNITÉ ET POUR ÊTRE FORT ENVERS LES ANCIENS COLONISATEURS POURQUOI A-T-IL MIS FIN À LA FÉDÉRATION DU MALI ?
QU'EST-CE QUI A MIS FIN À LA SÉNÉGAMBIE ?
Maât Jiyoole BAJAAT
La vérité crue de Mamadou Dia sur le dossier de la Casamance.
(Publié en jav. 1996, dans son journal Yakar)
S'agissant de la situation en Casamance, tous s'accordent à reconnaître son exceptionnelle gravité. Les deux camps se rendent coupables de violations Inacceptables des droits de l'homme qui ont été dénoncées par certaines organisations comme Amnesty International ou le RADDHO. Le problème casamançais est un vieux problème. C'est pourquoi mon gouvernement avait fait de l'intégration de la Casamance dans l'ensemble sénégalais la priorité. Un plan intérimaire avait été conçu pour résorber les tendances séparatistes décelables dès l'époque car, il faut le reconnaître et le dire, le colonisateur n'avait pas intégré la Casamance dans le Sénégal. Après Décembre 1962, ce plan a été abandonné et nous vivons aujourd'hui les tragiques conséquences de cet abandon. C'est pourquoi J'ai fait certaines propositions qui sont très claires. Ces propositions, je les ai adressées à Abdou DIOUF qui n'a pas eu la courtoisie de me répondre. Senghor, lui, aurait répondu. J'ai également adressé une correspondance à l'Abbé Diamacoune SENGHOR, Secrétaire Général du MFDC, laquelle m'a été purement et simplement retournée au motif qu'elle "n'aurait pas été réclamée par le destinataire". Comment l'Abbé, mis en résidence surveillée dans les conditions les plus strictes, pouvait-il deviner l'existence de cette correspondance et la réclamer ? Je crois qu'il est urgent d'intervenir sur ce dossier casamançais, avant qu'il ne soit trop tard. Toutes les forces nationales sont interpellées pour ouvrir la voie à des négociations sincères et loyales. C'est pourquoi j'exprime mon accord avec certaines propositions faites notamment par Landing SAVANE, qui vont dans le sens d'une concertation sur ce dossier.
Pour tout besoin de prise de contact avec La Voix de la Casamance, vous pouvez nous contacter sur cette adresse : info@voixdelacasamance.net
A l’idée d’une identité casamançaise toute particulière.
Le Sénégal sous l’impossibilité à justifier son mensonge.
La Casamance est frontalière de la Gambie au nord, des deux Guinées au sud et du Sénégal au nord-est à Tambacounda. Elle est bordée par l'océan Atlantique à l'ouest.
La Casamance présente une particularité singulière qui la différentie radicalement, sur tous les plans du Sénégal qui la convoite depuis plus de 42 ans. Le district de la Casamance note une identité qui lui est propre, venant poser cette pierre corrélative et affirmative de l’idée d’une Casamance toute indépendante, autonome et souveraine.
Qui dit que la Casamance est sénégalaise doit nous le prouver !
Géographiquement parlant, l’impossibilité s’impose à trouver un lien quelconque qui fait de cette terre bénite sénégalaise. Ce n’est qu’un mensonge fabriqué de toutes pièces, rien que la géographie, nous pouvons voir nettement cet état erroné de ce mensonge du Sénégal, le pays du crime, l’ennemie mortel de la mère Casamance. La Casamance est un carrefour avec des réalités naturelles mystérieuses qui expliquent toute son attirance. Cela dit, si les portugais, ni les français n’ont réussi à soumettre cette Casamance, il est important de noter que c’est peine perdue, la démarche du Sénégal à vouloir faire de la Casamance Sénégalaise. La Casamance aux casamançais !
Sur le plan historique, la Casamance, appelée également pays floupe du nom du royaume diola qui a dominé cette région, est un pays de forêts, de fleuves et de rivières. Les premiers colonisateurs ont été étonnés par le talent des architectes diolas.
La région a donné naissance à des personnages historiques qui ont lutté contre la colonisation occidentale, et qui sont, encore aujourd'hui, présents dans les mémoires, ce qui est à l’origine de l’inoccupation et de l’insoumission de la Casamance à aucune force étrangère, contrairement à un Sénégal asservie, soumis, colonisé par son patron français très tôt.
Culturellement, n’en parlons plus, la Casamance est un véritable creuset de cultures, abritant plusieurs ethnies, toutes cohabitant dans la parfaite harmonie depuis la nuit des temps. Chacune de ces communautés possède ses propres traditions, langues et savoir-faire, contribuant à la richesse culturelle de la région. Ce qui vient détruire le mensonge du Sénégal, le pays du crime. Le mensonge du Sénégal ne tient aucunement la route.
La main tendue à la Casamance pour cette alliance politique avec le Sénégal est une main empoisonnée.
En bref, sur aucun plan, l’on peut établir un lien qui pourrait rapprocher la Casamance d’un Sénégal plus colonialiste que le colon blanc.
C’est peine perdue !
L’on ne touche pas à ma Casamance !
PRINCE AYI
Le mauvais entrepreneur.
Ousmane Sonko construit sur du sable mouvant.
« La Casamance ne demande pas autre chose que son droit à l’Indépendance Nationale. L’évacuation de toute morale pour des intérêts de mauvais aloi, plus ou moins sordides, peut condamner tout un peuple innocent et parfaitement dans son droit, sinon à disparaitre, du moins à vivre perpétuellement dans l’injustice, la souffrance, l’humiliation et la servitude. » Dixit l’Abbé Augustin Diamacoune Senghor.
Le Sénégal, pays du crime, continue à escalader la montagne de la bêtise, rien que pour assoir son mensonge de longue date : la Casamance est sénégalaise.
Ousmane sonko condamné par ses envies politiques, fonce tout droit entre le marteau et l’enclume.
Actuellement, le pire ennemie de la Casamance profite pleinement de l’enfant du district de Casamance, Ousmane Sonko, pour ne point le nommer. Le chef de la primature sénégalaise qui criait à un quelconque projet bien avant son élection, est en réalité lui-même le projet du pays du crime.
En effet, le Sénégal, qui depuis fort longtemps se retrouve dans l’incapacité d’éteindre le feu qu’il a allumé volontiers en terre sainte du district de Casamance, compte à présent sur son premier ministre pour la réalisation de son rêve. Sans aucune réflexion à la base, Ousmane sonko rejoint par l’affirmatif la main qui a poignardé la Casamance et espère enfoncer davantage le couteau. Il place aux oubliettes les énormes sacrifices du peuple de Casamance. Ousmane Sonko est un danger pour la Casamance. Il est un grand manipulateur dans le sens propre du terme.
Toutefois, il est crucial de noter que c’est peine perdue. Il n’est qu’un simple mauvais entrepreneur, voir le pire car qui dit que la Casamance est sénégalaise doit nous le prouver.
C’est peine perdue et il ne fait que bâtir son édifice, une soit disant paix en Casamance sur du sable. La Casamance dit : l’Indépendance d’abord ! L’indépendance ou rien, la Casamance ne veut pas d’une paix bricolée.
L'on ne touche pas à ma Casamance.
Prince Ayi
Le bras de fer entre les populations casamançaises et le nouveau gouvernement du Sénégal.
Le masque sur le point de tomber !
Le gouvernement du Sénégal, avec comme premier ministre Ousmane Sonko, un fils de la Casamance, veut empoisonner et enfoncer le peuple de Casamance dans la misère, comme nous le montre actuellement ce qui se passe à Tobor. A peine au pouvoir, le premier ministre sénégalais et son gouvernement veulent imposer leurs actions farfelues aux casamançais. Ce gouvernement criminel, déguisé, n’a pas du tout hésité à mettre en prison des casamançais qui s’opposaient à leur projet de déversement d’ordures à Tobor, près de la ville de Ziguinchor. Un projet très dangereux pour le bien-être des populations de cette localité et à l’extrême contre nature. Des initiatives catastrophiques, qui s’inscrivent contre la lutte que nous menons tous pour la sauvegarde de notre environnement. Ce gouvernement bandit, veut oublier les énormes sacrifices que ces populations de la Casamance ont entamés pour le hisser très haut au sommet du pouvoir. Ousmane Sonko s’est servi des casamançais pour atteindre son objectif. Et que dire donc du Mouvement des Forces Démocratique de la Casamance ?
Nous convenons tous que ces populations de la Casamance ont payé la plus lourde tribu pour leur élection. Cependant, ils sont aujourd’hui les autorisateurs d’actions néfastes, nocives, très contraires à l’épanouissement et au bien-être de ces populations de Casamance. Des initiatives pour polluer cette localité, détruire leur nappe phréatique mais aussi détruire leurs activités agricoles, tout comme l’a dit Dr. Lamine DIEDHIOU de Tobor, l’un des victimes de cet emprisonnement insensé, lors de son point de presse au sortir de prison.
Pas de carrière d’ordures à Tobor.
Nous vous reviendrons dans très peu de temps avec notre envoyé spécial pour plus d’information sur cette affaire.
L’on ne touche pas à ma Casamance !
Prince Ayi
Plan Diomaye Casamance : arnaque et suite d’une longue manipulation.
La Casamance débarbouillée !
C’est peine perdue ! La mère Casamance et ses enfants dignes, intègres et loyales ont toujours gardé les yeux ouverts sur les évènements autour de cette situation malheureuse que le Sénégal ait provoqué volontiers.
En effet, avec une résistance permanente, la Casamance marche fièrement sur ses réalités fondamentales et inéluctables. La question de droit à l’indépendance et la longue et farouche résistance casamançaise de 349 ans en est une parfaite illustration. Mieux, un fils authentique de la Casamance peut-il oublier les longues, nombreuses, ignobles et cruelles tortures, souvent à mort, de centaines et même de milliers de détenus politiques et autres victimes civiles, innocentes, non armées ?
En fait, le Sénégal, avec l’aide de ses partenaires, ne cesse de creuser le fossé de la manipulation chaque soleil qui se lève, avec des politiques spécifiques pour amadouer la population de la Casamance et la maintenir éternellement dans la précarité.
C’est peine perdue ! Le Sénégal ne peut pas détourner ni désorienter les casamançais de cette noble, juste et légitime résistance. Assez ! Le Sénégal a fini de plonger la Casamance dans l’océan de la précarité. La question casamançaise, le commerce par excellence du Sénégal depuis fort longtemps.
On ne touche pas à ma Casamance !
Prince Ayi
《 Démissionnant, depuis 1983, devant ses responsabilités historiques, politiques et morales envers cette Casamance de nos ancêtres, la France, après s'être tue devant dix-sept correspondances Casamançaises, du 09 janvier 1983 au 04 avril 1987, se dérobe encore aujourd'hui, après une 18ème correspondances, le 12 mai 1993, en gratifiant la Casamance du contre-témoignage d'un expert, pour la circonstance plus sénégalaise que Française, dont les déclarations n'engagent nullement le Gouvernement de la République Française dans toutes ses composantes.
C'est ce prétendu témoignage de la France, disons-le franchement, ce faux témoignage de Monsieur l'Expert, que récusent, par un "contre-témoignage", aujourd'hui et demain, tous les fils authentiques de la Casamance. Ils projettent de répondre à Monsieur Jacques CHARPY au moins en deux temps.
Encore une fois, sont, fils authentiques de la Casamance, tous ceux qui de cœur et d'âme, d'esprit et d'idéal, de vie et d'action, sont les dignes héritiers des vertus et qualités de nos valeureux et glorieux ancêtres.
Ce sont ces fils authentiques de la Casamance qui, sans se lasser, ne cessent de ressasser ce refrain : " jamais, à aucun moment de son passé colonial, la Casamance n'a été, juridiquement parlant, une partie intégrante de la colonie du Sénégal. La Casamance était avec le Sénégal, mais non pas dans le Sénégal ". Nous allons le montrer tout à l'heure, en démontant et en démentant le témoignage de monsieur l'expert Jacques CHARPY. Pays du refus, la Casamance refuse, rejette ce faux témoignage. 》 Dixit Abbé Augustin Diamacoune Senghor dans son livre ???? la Casamance Pays du refus.
On ne touche pas à ma Casamance !
PRINCE AY
La résistance Casamançaise.
Les HOMMES et leur TERRE !
La Casamance, le pays du refus, ne s’est jamais laissé abattre par aucune force étrangère d’occupation et de répression, aussi puissante soit-elle, depuis la nuit des temps. Par ce moyen, la Casamance compte parmi les tout premiers pays ou territoires à se revendiquer c’est-à-dire à se battre pour la préservation de ses libertés et droits. En réalité, le pays du refus a manifesté publiquement sans détour, son ras-le-bol contre toute colonisation depuis toujours. Ce qui lui permet sa noble place dans le top des pays ou territoires pionniers qui se sont revendiqués très tôt pour leur autonomie.
Effectivement, peut-être même de la sempiternelle résistance casamançaise, la France elle-même n’a jamais su trouver au territoire de la Casamance un régime, un système, un mode d’administration convenable, c’est-à-dire adapté, dynamique et efficace.
Oui, jusqu’à son départ de la Casamance en 1960, la France a mené une lutte difficile et terrible pour tenter de briser une résistance casamançaise hostile à une présence française en Casamance, jugée envahissante et aliénante.
Certains historiens parlent d’une Casamance conquise, mais pas soumise. A preuve, son régime de zone militaire avec des officiers de l’armée française à la tête des circonscriptions administratives du territoire de la Casamance.
On ne touche pas à ma Casamance !
PRINCE AYI
Le Sénégal, dans sa pensée nébuleuse, diabolique et satanique à vouloir détruire la Casamance par tous les moyens, se retrouve de nos jours, dans une impasse obscure. Comme on le dit souvent, le mal qu’on a voulu faire à autrui revient toujours sur soi.
En effet, le pays du crime, dans sa guerre injuste et gratuite qu’il a imposée et déclarée sans raison valable, aucune, à la Casamance, a heurté le mur en acier.
Ce faisant, le Sénégal, au midi de son vandalisme et de son crime en Casamance, se métamorphose en commerçant et propose à la Casamance, sa victime, une idéologie de Grands Ensembles.
Que d’empires éclatés !
Que de fédérations et confédérations éclatées !
Que d’unions éclatées !
La manipulation ne passe guère actuellement. Un petit regard partout dans le monde entier suffit largement comme exemples claires et limpides démontrant l’état sombre, faux et erroné de cette théorie de Grands Ensembles, qui ne tient nullement la route.
En réalité, cette théorie n’est qu’une simple démarche, un procédé politique qui vise principalement à maintenir des peuples, des territoires ou des pays jugés petit, dans la précarité, l’impérialisme, la servitude, la corruption ainsi de suite.
Nous pouvons donc prendre quelques exemples en Europe et même ici en Afrique qui nous concerne tous sans toutefois aller loin pour montrer qu’un petit Etat dans la paix et la cohésion vaut mille fois mieux que ses Grands Ensembles dans le désordre. L’épanouissement avec des micros-états, c’est possible, faisable et normal.
Nous avons en métropole, un ensemble de cinq très petits États souverains à savoir : l'Andorre, le Liechtenstein, Monaco, Saint-Marin et le Vatican ...
A préciser que quatre de ces États sont des monarchies, alors que Saint-Marin est une république. En Afrique, nous avons Sao Tomé-et-Principe, les Seychelles et Zanzibar, Maurice, etc.
Dès lors, la bonne question est : Pourquoi le Sénégal veut maintenir la Casamance dans cette alliance qui devient de plus en plus toxique au fil des années ?
Indubitablement, la majeure partie des guerres, des violences, des injustices… dont le continent vit aujourd’hui comme hier, résultent des conséquences directes ou indirectes de cette vision complétement erronée de Grands Ensembles.
Toutefois, il est crucial de noter que sous nos yeux, des peuples ou pays unies se sont séparés sans fumé ni étincelle.
D’ailleurs, tout près de nous, il y a la Guinée portugaise et le Cap-Vert. Un peu plus loin nous avons le Soudan, l’Erythrée etc. Ailleurs nous avons la Tchécoslovaquie : les Tchèques et les Slovaques, parmi tant d’autres exemples.
Imparablement, cette théorie de Grands Ensembles est l’expression en « gras » de l’impérialisme et de la servitude. Et au sein de ces blocs appelés Grands Ensembles, lorsque celui jugé petit ou dupe se revendique, c’est le commencement de la mésentente et de la guerre.
On ne touche pas à ma Casamance!
PRINCE AYI
Une Casamance constante dans sa démarche pour l’émancipation.
Une vérité à la casamançaise.
« Ceux qui s’opposent à l’indépendance totale de la Casamance, sous prétexte que l’heure est aux Grands Ensembles veulent ignorer certaines choses fondamentales :
Que d’empires éclatés !
Depuis 1645 la Casamance mène une guerre de libération nationale en luttant contre les portugais, les français, colonisateurs, et aujourd’hui, plus que jamais, contre les sénégalais colonisateurs et colonialistes.
Et voilà que, aujourd’hui, on demande à cette même Casamance résistante de déposer les armes pour se plier à une colonisation plus abjecte encore : celle d’un Noir par un autre Noir.
Or les Franco-sénégalais ont toujours été, et sont encore aujourd’hui plus que jamais, les collaborateurs étroits, assidus et efficaces des colonisateurs et colonialistes blancs et autres, contre les pauvres et braves casamançais.
Les français partis, les sénégalais, donc des Noirs, leurs auxiliaires inconditionnels, se sont montrés, en Casamance, beaucoup plus colonialiste que les blancs.
Or il n’y a rien de plus abject que le colonialisme exercé par des Noirs contre d’autres Noirs…
C’est bien beau d’élaborer de belles théories de Grands Ensembles quand on n’est pas de ceux que les sénégalais tuent, torturent, humilient, exploitent, spolient, dont ils étouffent l’émergence et l’épanouissement dans tous les domaines ; quand ce n’est pas de votre pays que les sénégalais détruisent ou confisquent les Terres, volent les Biens et détruisent le patrimoine écologique. » Dixit l’Abbé AUGUISTIN DIAMACOUNNE SENGHOR dans son livre : CASAMANCE-PAYS DU REFUS.
PRINCE AYI
La Casamance, le pays du refus.
La Casamance, terre de prospérité et d’hospitalité demeure depuis 1982 sous le feu, la guerre, la violence, l’injustice, la spoliation, l’humiliation, le dénigrement, le mépris, le viol, ainsi de suite, d’un Sénégal gravement malade qui veut l’intégrer ou l’annexer de force.
En effet, force est de souligner que géographiquement, historiquement, culturellement, socialement, moralement, bref sur tous les plans, le district de la Casamance n’a rien en commun avec ce Sénégal colonisateur et colonialiste.
Comme l’Abbé le disait souvent : « Les sénégalais et les casamançais ne sont pas passés par les mêmes bois sacrés. » Pour nous les casamançais, mieux vaut mourir les armes à la main que de succomber sous les tortures, les humiliations, les injustices, les injures et le vandalisme des sénégalais colonialistes.
Selon les Archives de la colonie française du Sénégal 2 B 18. Le gouverneur de la colonie française du Sénégal au Ministre de la marine et des colonies, le 12 Août 1839 : « Le 12 Août 1839, le gouverneur de la colonie française du Sénégal CHARMASSON écrit au Directeur des colonies : la Casamance ne nous appartient pas et force nous sera d’y souffrir les traitants qui viennent s’y établir… les lois se taisent et l’usage n’a rein consacré. »
Donc la France, malgré son installation à Carabane par le traité du 22 janvier 1836, et à Sédhiou par le traité du 3 avril 1838, reconnait elle-même que la Casamance ne lui appartient pas, non seulement à cause des portugais leur devanciers, et même des anglais à Elankine, mais encore et surtout parce que cette même Casamance est encore indépendante, libre !
De très nombreux casamançais ont été arrêtés, emprisonnés, torturés à mort pour « atteinte à l’intégrité du territoire national »
Quand et par qui ce territoire sénégalais fut-il créé, et avec quelles limites ?
Sur quelle base le Sénégal se dresse-t-il pour continuer leur crime en Casamance ?
La Casamance n’est pas sénégalaise et ne sera jamais sénégalaise. Cette volonté malsaine du Sénégal à vouloir intégrer de force la Casamance dans un Sénégal malade n’est que peine perdue.
La Casamance aux casamançais !
On ne touche pas à ma Casamance !
PRINCE AYI
Le pays du crime et ses fils, allergiques à la vérité et à la justice, démontrent au grand publique leur haine et mépris vis-à-vis de la Casamance et ses enfants. Une allergie provoquant chaque jour qui se lève : humiliation, médisance, dénigrement, mépris, haine, ainsi de suite, allant même jusqu’à la mort. Toujours de contradiction en contradiction, ce même Sénégal qui pourtant prétend bêtement que la Casamance est sénégalaise.
Selon un têtard chroniqueur à WALF TV, très faible d’esprit, PAPE MOUSSA SOW, probablement guinéen, pour ne point le nommer « comment une rébellion qui n’est pas capable depuis quarante années de prendre ne serait-ce qu’une sous-préfecture peut-elle se dresser tel un obstacle pour l’armée sénégalaise. S’il y a une volonté politique et militaire, en seulement 48 heures ce conflit serait conjugué au passé. Je suis d’accord avec la méthode des israéliens. Il faut foncer, ça passe ou ça casse. Il faut tout bombarder… et personne ne parlera. »
Des propos de haine, de mauvaise foi et de mauvaise volonté sociale et politique mais aussi d’ignorance et de faiblesse d’esprit.
En effet, c’est simplement parce que le Sénégal et ses enfants sont étriqués et malades mentalement, vraiment tout petits intellectuellement qu’ils voient tout en violence.
Cette allergie devient grave et catastrophique !
Ils veulent toujours user de cette vielle recette qui ne sert à rien, qui n’arrive à rien, qui n’a jamais abouti depuis les premiers jours de cette planète.
La violence ! Le crime !
Pourquoi la violence et le crime contre la Casamance et pas le dialogue dans l’intelligence ?
A cause du mensonge, le Sénégal s’est lui-même affaiblit.
La violence c’est pour les sots et faibles d’esprit.
On ne touche pas à ma Casamance !
Pour tout besoin de collaboration dans le cadre de ce travaille noble pour l'émancipation de la mère Casamance, n'hésitez surtout pas à nous contacter. Ensemble c'est encore mieux!
PRINCE AYI
"Le peuple Casamançais est fermement décidé à poursuivre la réalisation de ses nobles destins et dessins d'unité, liberté et solidarité, de justice et vérité, de respect et tolérance, pour la promotion et la construction d'un monde plus humain et plus fraternel, fruit d'une concorde et d'une charité, d'une culture et d'une civilisation, d'une paix et d'une prospérité sans frontières, invoque la protection de toutes les puissances visibles et invisibles, pour s'organiser, s'administrer et se diriger avec sagesse et courage, force et lucidité, intelligence, dynamisme et efficacité, dans un monde en pleine mutation, dans une Casamance en gestation d'un avenir prometteur. Osons espérer que notre Mère Patrie n'accouchera pas d'une souris. " Dixit Abbé Augustin Diamacoune Senghor à travers la déclaration du MFDC le 21 décembre 1993 à Ziguinchor.
On ne touche pas à ma Casamance!
PRINCE AYI
Une vérité à la casamançaise!
La Casamance dans ses efforts!
Pour tous ceux qui souhaiteraient travailler ou collaborer avec nous, vous êtes les bienvenus. vous pouvez nous contacter.
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Ousmane Sonko, certains cadres et soldats Diola étiquetés.
Dans les montagnes de l’inquiétude et les journées de peur et de panique profonde, le Sénégal, dans son rêve à vouloir soumettre la Casamance, de nulle part et dans l’étendu du néant, crée des liens et/ou des rapports entre le Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), Ousmane Sonko, des cadres de Casamance et certains soldats Diola.
Indubitablement, le monde entier connait la raison derrière ces mensonges fabriqués de toutes pièces pour relancer sa campagne de diabolisation des casamançais.
Ce n’est que là, pour le Sénégal, un faux semblant et un prétexte pour poursuivre ses crimes et sa bêtise en Casamance. Tout ce manège n’est que la manifestation pure et simpliste de la haine, du mépris et de la mauvaise foi du Sénégal contre la Casamance et ses enfants.
En effet, faut-il le rappeler au Sénégal, qu’en Casamance, nous ne voulons pas et n’avons nullement besoin de liens bricolés et bâtis sur du sable mouvant. Ousmane Sonko, ces cadres et ces soldats ont bien évidemment choisi le Sénégal et non la Casamance.
Le pays du refus ne compte que sur ses enfants intègres, dignes, nationalistes et remplis de fierté pour mener à bon port sa mission de libération. Tout comme leurs ancêtres, depuis la nuit des temps, les enfants nationalistes de la mère Casamance sont bien disposés à mener la résistance et à bouter dehors du territoire casamançais le Sénégal et sa Bande criminelle sans le seul besoin de ces faux liens, puisque la résistance en Casamance est une tradition.
Invicta Felix ! Les Hommes et leur Terre !
Le délire du Sénégal devient viral et malheureusement pour lui, il n’y a personne à manipuler ni à mentir. Le monde entier est bien au courant de ce qui ce passe en Casamance. Autrement dit, des crimes, violences, injustices, manœuvres, ainsi de suite, du Sénégal contre la Casamance.
Le Sénégal a pris le soin d’allumer le feu en Casamance au lieu d’y verser de l’eau tout comme l’avaient faits ces pauvres casamançais le 26 Décembre 1982 en guise de symbole de non-violence et de paix.
Par ce feu de l’injustice et de la violence, le Sénégal périra et y sera totalement consumé. D’ailleurs, les effets de ce feu se font déjà sentir puisque depuis ces dernières années le Sénégal traverse et vit ses nuits sombres et désertiques.
On ne touche pas à ma Casamance !
PRINCE AYI
Ayant à la tête de sa primature, un fils de la Casamance, précisément un Diola, cette situation met fort mal à l’aise un Sénégal remplie de haine et d’une mauvaise foi caractérisée et affichée contre la Casamance et ses fils. Une situation qui fait trembler de peur, fait mourir d’inquiétude au Sénégal qui cette fois-ci choisi la méthode du Condamner à Tort et à Travers.
En effet, dans la guerre qu’il a inconsciemment déclarée et imposée à la Casamance, depuis près de quarante-deux ans aujourd’hui, le pays du crime ne souhaite pas voir ses crimes et ses bêtises commis en Casamance au grand public. Le pays du crime se lance dès lors dans des sentiers fallacieux et farfelus pour le seul but d’incriminer les enfants Diola de la mère Casamance sans raison valable.
En réalité, la peur du fier et intègre Ajamat(Diola) lui pousse à la dérive et à la perte fatale de son sen froid en le conduisant bêtement dans des condamnations sans aucun sens. Ce qui explique le calvaire que vie les jeunes Diola au sein de l’armée sénégalaise.
Chers frères de Casamance, on ne pactise pas avec le diable.
Selon un article publié par SEN WEB : « Trois soldats vont comparaître à la barre du Tribunal militaire ce vendredi. Selon les informations du journal Le Témoin, il s’agit de l’adjudant I. Sagna, de sergent-chef P. Badji et du soldat de première classe S. Coly.
Accusés d’avoir «divulgué des informations sensibles et stratégiques aux chefs combattants du Mouvement des forces démocratiques de Casamance » (MFDC), les deux sous-officiers et le soldat sont inculpés par le Doyen des juges d’instruction pour «complicité d’atteinte à la sûreté de l’État, atteinte de La Défense nationale, mise en danger de la vie d’autrui, et complot contre l’autorité de l’État», renseigne la source.
Le journal précise que les faits graves ont eu lieu lors d’une opération de sécurisation dans le sud du pays : Les rebelles avec l’appui des mis en cause auraient réussi à «intercepter des conversations et autres numéros téléphoniques donnant la position des militaires» en opération en Casamance.
Selon les premiers éléments de l’enquête, poursuit le quotidien d’information, « le sergent-chef P. Badji voulait faire tomber sa section composée d’une trentaine d’hommes dans une embuscade », en leur « indiquant un itinéraire différent de celui qui mène vers le village de Djibidione» où, souligne l’accusation, «des éléments du MFDC étaient pré-positionnés».
Attention, tout comme le diable, le mensonge du Sénégal et partout profond.
On ne touche pas à ma Casamance !
Prince Ayi
La Résistance casamançaise.
La Casamance, pays du refus, la terre des Hommes invaincu, est restée insoumise et non colonisée depuis 1645 jusqu’à nos jours. La résistance casamançaise touche tous les maillons de la population.
En effet, en Casamance, certes beaucoup d’hommes se sont distingués à travers la résistance, mais aussi il noter que des femmes, héroïnes, ont rayonné et marqué leurs empreintes à jamais.
Prenons l’exemple de quelques-unes.
Mme Badji, première résistante casamançaise, elle est une détenue politique, victime de la pénétration française en Casamance. Elle a été arrêtée dans le département de Bignona pour avoir empêché le kidnapping de son frère pour le recrutement forcé par les troupes françaises en novembre 1918 pour la première guerre mondiale par le commandant de cercle de Bignona en compagnie de Blaise Diagne, fraîchement nommé Secrétaire d'état aux recrutements forcés, suite à la nomination en tant que Gouverneur Général de l'Afrique Occidentale Française (L'AOF), Monsieur William Ponty.
Giflée et maltraitée par Blaise Diagne en personne, valet et serviteur des français, elle a été déportée au Soudan français (actuel Mali), où elle devait y mourir en 1996-1998, sans jamais revoir son Pays, la Casamance.
Après l'arrestation de Mme Badji en novembre 1918 dans le département de Bignona, c'est au tour de la Reine Aloheindisso Bassène d'Etama dans le département d'Oussouye d'être également arrêtée par les colons français en 1818 et condamnée aux travaux forcés à perpétuité.
Ainsi, la Reine Kouïto Diatta de Tendouck est arrêtée après l'arrestation de la Reine Alinsïïtowé Diatta de Cabrousse.
Mais elle, contrairement aux deux autres Reines, son arrestation a provoqué une vive émotion et une vive colère et l'émoi de toutes les populations de Boulouf qui se sont immédiatement mobilisés et organisés une marche vers Bignona pour demander sa libération immédiate et inconditionnelle qui a permis sa libération, lui évitant ainsi d'être jugée et condamnée.
Nous reviendrons très bientôt sur les autres Héroïnes…
La Casamance Avant Toute Chose !
Prince Ayi
Finale de la Coupe du Sénégal 1979.
Le congrès de Sédhiou.
Suite au Congrès du Soudan français à Bamako (actuel Mali), les leaders casamançais, une fois rentrée dans leur pays, la Casamance, se sont organisés, mobilisés pour convoquer leurs Congrès, à la date du 22 janvier 1947 à Ziguinchor, la capitale de la Casamance, pour faire le compte rendu du Congrès de Bamako au Mali dont ils ont pris part.
Après leur compte rendu, ils ont pris la première décision forte à l'unanimité, qui consiste donc à démissionner de la SFIO, le parti colonial français où ils ont tous adhérés. La deuxième décision forte prise également à l'unanimité, c'est celle de convoquer le Congrès de Sédhiou.
Lors de ce congrès, à Sédhiou, nous pouvons citer Pierre Édouard Diatta dans ses propos tonique et affirmés : « Nous ne voulons plus des français dans notre pays, la Casamance, nous sommes capables de nous diriger nous-mêmes. Nous ne préférions de beaucoup subir la tutelle allemande que celle qui est imposée. » Bien entendu par les français.
En effet, le congrès de Sédhiou représente un chemin nouveau et une volonté affichée de l’élite casamançaise, qui avait comme objectif, se démarquer du colonialisme avilissante.
La suite nous la connaissons, c'est la création, par les leaders casamançais, les premiers dans tous les territoires colonisés ou occupés par la France de l'Afrique Occidentale Française l'AOF et l'Afrique Équatoriale à français AEF, du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), le 4 mars 1947 à Sédhiou en Casamance pour la libération nationale de la CASAMANCE, concrétisant ainsi par l'élection à sa tête par acclamation, Monsieur Victor Sihumehemba Diatta, Secrétaire général du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance.
Suite à suivre...
Le Sénégal et le Crime.
La contradiction politique et le banditisme sénégalais en Casamance.
Le Sénégal, la machine de la bêtise et de la criminalité.
Encore, comme toujours, depuis près de quarante-deux ans aujourd’hui, le Sénégal, dans sa guerre stupide, idiote et insensée qu’il a déclaré et imposé à la Casamance, continue de cautionner volontiers ses crimes et son banditisme qui ne dit pas son nom.
Les 5 et 6 juin 2024, le Sénégal reprend son activité principale en Casamance qui consiste à semer la graine de la haine et du rejet du sénégalais.
« Depuis hier matin, les bombardements de l’armée sénégalaise se font entendre dans le Fogny. La population affirme que les tirs à l’arme lourde sont causés par l’armée sénégalaise… » Nous informe notre source depuis Allacounda. Selon les premières informations, les bombes tirées par l’armée criminelle sénégalaise contre les populations civiles ont fait quatre blessés dont un enfant de trois mois dans le village d’Allacounda au nord de la Casamance.
Le monde entier est pris pour témoin de ces atrocités. Le Sénégal tue et continue de tuer les pauvres civiles casamançais. Les crimes du Sénégal deviennent récurrents en Casamance.
La Casamance, quant à elle, quoique solitaire, ne renoncera jamais à la liberté de ses enfants. Dans la pénombre, elle s’armera de patience jusqu’au lever du jour. La manipulation et le mensonge sénégalais ne passeront pas cette fois ci. La Casamance a vu claire dans le jeu du Sénégal. Tous leurs différents gouvernements ont démontré leur volonté ténébreuse et très sombre contre la Casamance. Aujourd’hui, sous la présidence de Bassirou Diomaye Faye, le Sénégal nous confirme son état d’esprit très étriqué.
Encore, faut-il le rappeler, cette guerre contre la Casamance échouera devant les portes de la Résistance casamançaise.
On ne touche pas à ma Casamance !
PRINCE AYI
La Rumeur !
Janvier 2021, le point coté, d’une prétendue « offensive majeure » de l’armée criminelle sénégalaise contre les valeureux combattants d’ATTIKA de Casamance.
L’ère ténébreuse, Macky sall, la politique noire !
« Les armées ont totalement détruit ou occupé les bases rebelles dans plusieurs régions de la Casamance (sud) », dixit le ministre des forces armées dans son communiqué. Il poursuit : « ces bandes criminelles en déroute seront traquées jusque dans leur dernier retranchement »
De pures salades, servies dans l’assiette de la rumeur, du mensonge, de la manipulation et de la honte par une presse malade, épileptique.
Une série de questions reste nécessaire et est bien à l’ordre du jour pour ces sénégalais inconscients qui vantent des soi-disant exploits du général Souleymane Kandé en Casamance, qui dans leurs rêve croient avoir tué la Panthère en l’ayant bien loupé. Une mission politique qui a un seul objectif, qui est de servir les intérêts politique de Macky Sall qui voulait à tout prix rester au pouvoir.
Certes des images ont été mises au public, montrant des bases des valeureux combattants d’ATTIKA et quelques armes complètement rouillées.
La ruse des vaillants et valeureux guerriers d’ATTIKA de Casamance qui ont la stratégie du combat dans le sang tout comme leurs ancêtres invaincus et invincible. D’où, la prétention de l’armée criminelle sénégalaise d’avoir fini avec la panthère qui lui marche fièrement sur sa terre avec toutes ses forces.
Le poisson a bien avalé l’hameçon !
Des offensives longues et pénibles, synonymes de grosses pertes pour le Sénégal qui continue de son entêtement dans cette guerre insensée, qu’il a imposé à la Casamance.
Le général va-t-il donner le bilan exact du nombre de morts dans le camp des combattants d’ATTIKA de Casamance comme dans son propre camp, puisque la promesse était de prendre le commandant Salif Sadio mort ou vivant ?
Où sont les images des combattants d’ATTIKA tués ?
Le général peut-il en montrer des photos ou vidéos ?
Pouvons-nous connaitre le lieu de détention des combattants d’ATTIKA de Casamance capturés ?
Où est Salif Sadio, celui qu’ils devaient trouver mort ou vivant ?
Le scénario reste toujours le même. Quand ces criminelles, prétendu armée professionnelle se font corriger par ATTIKA, ils se retournent contre la population civile casamançaise, qu’ils violentent et tuent pour essuyer leurs larmes et calmer leurs douleurs. Ce qui peut se dire c’est que ces bandits criminels ont fini par nous montrer des images du dépôt des armes de la faction de DIAKAYE qui est en réalité une milice purement de création sénégalaise en vue de manipuler comme toujours l’opinion national et international.
A l’autorité sénégalaise et au général Souleymane Kandé en question, peut-on avoir le bilan exact, du nombre de soldats, fils de pauvres et soutiens de familles, qui ont vu leur vie s’éteindre ou gravement blessé lors de ces fameuses offensives en terre de Casamance ?
Le général qui a conduit à l’abattoir les fils de pauvres.
Les fils de pauvres ! Des soutiens de familles !
L’opinion que vous tentez de manipuler sans répit veut beaucoup de lumière sur ce questionnaire.
La Casamance est debout pour bannir le Sénégal et son lot de mensonge.
On ne touche pas à ma Casamance !
SANSANDING BOLOMBA NIIMEEMA IKANA NMAA !
Ainsi à la suite du discours du Général De Gaulle de Brazzaville en janvier 1944, le leader Félix Houphouët Boigny proposa le Congrès de Bamako, le chef-lieu du Soudan français (futur Mali), convoqua le Congrès de Bamako.
Environ 800 délégués répondent à l'appel du leader de la Côte d'Ivoire.
Les délégués expriment le désir de s’émanciper du joug colonial et d’affirmer leur « personnalité politique, économique sociale et culturelle ». Ils souhaitent une « association librement consentie » au sein de la nouvelle Union française, adoptée le 27 septembre 1946 par la Constitution de la IVe République, avec l’égalité des droits et des devoirs (« Vive l’Afrique noire, Vive l’Union des Africains, Vive l’Union française des peuples démocratiques »).
Ils y fondent le Rassemblement Démocratique Africain (RDA), une fédération de partis nationaux largement autonomes, visant à l'émancipation de l'Afrique Francophone du joug colonial.
Le 21 octobre 1946, le Congrès de Bamako s'achève par la mise sur pied du Rassemblement Démocratique Africain (RDA).
Ce faisant, les conseillers territoriaux de la Casamance qui ont pris part de ce congrès qui a abouti à la création du (RDA), de retour en Casamance, vont à leur tour se réunir pour donner un compte rendu du congrès de Bamako mais également pour démissionner de la SFIO, parti politique coloniale française, en vue de créer leur propre mouvement de lutte contre la colonisation.
Une réunion publique tenue à Ziguinchor le 22 janvier 1947, soit trois mois après la création du (RDA) avec la participation des conseillers généraux de Casamance SFIO à l’instar d’Amadou Lamine Daffe, Pierre Edouard Diatta, Emmanuel Gomis…
Dans son discours, Amadou Lamine Daffe aborda divers sujets. Outre le fait qu’il revendiquait le droit pour le conseil général de jouir des mêmes prérogatives que celles des conseils des départements français , il fustigea les avantages accordés aux fonctionnaires subalternes métropolitains dont il exigea l’arrêt du recrutement en réclamant en revanche l’emploie d’autochtones sans aucune limite. Tout en exigeant des quotas pour l’installation de nouveaux européens dans la colonie… Allant plus loin dans la surenchère verbale, Pierre Edouard Diatta conseiller général de Casamance alla jusqu’à dire : « Nous ne voulons plus des français dans notre pays (la Casamance), nous sommes capables de nous diriger nous-même. Nous préférions de beaucoup plus subir la tutelle allemande que celle qui nous ait imposée »
Sous l’impérialisme de la France, accompagné de ces restrictions et interdictions, les territoires africains de l’empire français ont entrepris véritablement leur chemin vers la liberté, l’autonomie, la souveraineté, bref l’émancipation, lorsque Charles De Gaulles, président du Comité Français de la Libération National (CFLN) a annoncé à Brazzaville le 30 Janvier 1944, la volonté de la France à lever toutes les restrictions politiques partout sur les territoires qu’elle occupe.
Contexte du congrès de Brazzaville :
Organisée du 30 au 08 Février 1944 durant la deuxième guerre mondiale par le Comité Français de la Libération Nationale (CFLN), la conférence de Brazzaville s’inscrit dans le cadre de la détermination du rôle et de l’avenir des territoires africains occupés par la France. L’objectif ici étant, d’anticiper et de préparer le lendemain de la guerre. La conférence réunit les représentants administratifs des territoires français d’Afrique, autour du général De Gaulle et du directeur politique du commissariat aux colonies M. René Pleven.
En effet, son programme est de proposer un pouvoir politique, destiné à établir, sur des bases nouvelles, la mise en valeur des territoires africains, le progrès social de leurs habitants et l’exercice de la souveraineté de la métropole dans le cadre d’une communauté qui préfigure l’union française.
En fait, le général De Gaulle, étant le président du (CFLN), conscient que le combat pour la liberté doit apporter plus de liberté à ceux qui l’ont mené, il va donc clarifier l’objectif : les africains devront participer à la gestion de leur propres affaires chez eux. Il est hors de question d’indépendance mais la voie de l’émancipation est ouverte et il ne faut pas tarder.
Mieux, De Gaulle va aller plus loin en déclarant ceci : nous croyons en particulier, qu’au point de vue du développement des ressources et des grandes communications, le continent africain doit constituer, dans une large mesure, un tout. Mais en Afrique française, comme dans tous les territoires où les hommes vivent sous les couleurs du drapeau français, il n’y aurait aucun progrès qui soit un progrès, si les hommes sur leur terre natale, n’en profitaient pas moralement et matériellement, s’ils ne pouvaient s’élever peu à peu jusqu’au niveau où ils seront capables de participer chez eux à la gestion de leurs propres affaires.
Réaction des Leaders africains au sortir du congrès de Brazzaville
A l’issue de cette conférence, l’abolition du code de l'indigénat est décidée. Au cours de la conférence est notamment retenue la proposition, faite par Félix Eboué, d’une politique d’assimilation en faveur des colonies. A ce titre, le générale De Gaulle rappelle que le lien entre la France et ses colonies est définitif et la déclaration finale de la conférence rejette catégoriquement toute possibilité d’évolution hors du bloc français et toute constitution, même lointaine de self gouvernement.
En revanche, De Gaulle, par cette conférence, annonce la volonté de la France à lever toutes les interdictions politiques sur tous les territoires qu’elle occupe, autrement dit, le début et l’entame de la décolonisation. La France autorise dès lors à ses colonies de s’organiser politiquement.
Les leaders africains, comme l’a dit le général : « il ne faut pas tarder », n’ont pas manqués de saisir immédiatement cette belle opportunité.
Ainsi toutes les interdictions des libertés d’expressions de pensées étant levées par le président du comité de la liberté nationale, tous les leaders des territoires colonisés ou occupés par la Français ont saisi la balle au rebond et n’ont pas tardé.
Ils se sont immédiatement mis à l'œuvre et au travail.
A ce titre, nous avons la convocation du 1er Congrès à Casablanca, au Maroc qui, malheureusement n’a rien donné. De retour de Casablanca, au Maroc, les leaders des territoires colonisés ou occupés africains, ont initié un deuxième congrès au Monrovia, en Sierra-Leone, mais ce deuxième rendez-vous non plus, n’a donné aucun résultat, on peut même le qualifier d’échec.
C’est alors que sous la proposition du leader de la Côte-D’Ivoire, Félix Houphouët Boigny de convoquer le congrès de Bamako au Soudan français (l’actuel Mali), qui a réuni cette fois-ci, tous les leaders des territoires colonisés ou occupés de l’Afrique Occidentale Française (A.O.F) à Bamako sauf ceux du territoire du Sénégal, sous la présidence effectivement de Félix Houphouët Boigny, avec deux sujets à l’ordre du jour suivant : L’Afrique Occidentale Française partira-elle à l’indépendance, en Fédération ou en Confédération ?
Mais ces deux sujets n'ont pas pu être débattus à cause de l’absence des leaders du territoire du Sénégal qui n’ont pas répondu à l’invitation de congrès de Bamako.
Mais malgré cette fausse note des leaders sénégalais, les autres ont continué les débats qui ont abouti à la Création du Rassemblement Démocratique Africain (R.D.A).
Voilà ainsi les actes et la voie posés, campés et les recommandations donnés pour le processus de l’émancipation de l’Afrique. Malgré que, le Sénégal, dans sa nature première qui est la traîtrise et dans sa mauvaise fois pour un Afrique unie, soudé et puissant, a envoyé en échec ce noble rassemblement en refusant de se représenter sachant que Dakar devrait abriter la capitale de cette organisation.
Un jour nouveau et un départ des territoires africains sous les couleurs du drapeau français vers le soleil de l’émancipation.
La Casamance quant à elle, n’en demeure guère exclu de ces territoires sous les couleurs du drapeau français. La Casamance qui déjà, depuis très tôt a entamé sa mouvance vers un autre jour libre et émancipé, au sortir de ce grand Rassemblement Démocratique Africain(RDA). D’ailleurs, ce qui est à l’origine la déclaration de M. Edouard Diatta conseiller général de la Casamance le 22 Janvier 1947 : « Nous ne voulons plus des français dans notre pays, nous sommes capables de nous diriger nous-même. Nous préférions de beaucoup subir la tutelle allemande que celle qui nous est imposée. »
En définitif, la conférence de Brazzaville constitue, pour l’ensemble des territoires sous les couleurs du drapeau français, le point de départ vers une émancipation progressive et un véritable signe de décolonisation. Elle représente également en ce sens la substance primordiale de la préparation et la demande affirmée d’autonomie mais aussi le facteur qui déclencha dans bon nombre de ces territoires, les luttes de libération nationale.r ajouter un titre qui interpelle. Les images de bonne qualité contribuent à vous donner une apparence professionnelle en ligne.
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